Je me frotte le visage d’une main et, de l’autre, je relève mes lunettes sur mon front.
Oh. Mon. Dieu.
Adam Winters va me rendre dingue.
Ce ne sera pas à cause de ma mère après tout. Peut-être qu’on ne lira pas sur ma pierre tombale que j’étais une menteuse. Peut-être qu’on y lira qu’un joueur de hockey super-sexy a fait exploser mon clitoris de désir et que c’est ainsi que je suis morte.
Tant que j’ai un orgasme, je ne suis pas contre.
Pour l’instant, j’ai menti pour échapper à ses manières de dieu du sexe, et je suis foutue.