- N’importe quel livre plutôt que le petit écran ! Entendez-vous Marko ! Même le bottin. Du moment qu’il n’y a pas d’images. L’image abrutit. Elle nous empoisonne. Elle vole notre imaginaire, anéantit nos rêves. Elle avale tout, digère à la hâte et nous recrache à la figue une bouillie nauséabonde.