Heureux les riches, car non seulement ils sont riches mais ils ont le droit de profiter du royaume enchanté avant tout le monde. Malheureux les autres, les exilés, les réfugiés, les démunis ! Je pense à eux, bien sûr, mais à quoi bon penser quand ce qu'il faudrait c'est ouvrir grand les portes, abattre les grillages, lever le siège, partager les récoltes, céder la citadelle.