Les livres me manquent cruellement, bien plus que la musique, que les draps de fin coton et les vins d'Italie ou d'Espagne, que les bijoux, les armes et les fourrures, le sceptre, le poids parfait de la couronne sur ma tête, les hurlements de la foule acclamant mon apparition, les cris de guerre, la folle et délicieuse angoisse avant la bataille et l'odeur du sang.
Première partie
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