Il n'a plus de lui-même qu'une image fragmentée, incomplète, il se voit comme un estropié, un homme à qui il manquerait un membre, ou même un organe vitale. Il n'est plus qu'une carcasse, jeune et saine certes, mais une carcasse dénuée de volonté, se laissant porter au gré du bon plaisir des hommes, du pas de son cheval et du temps qu'il fait.