Je vivais avec les moyens du bord. Je ne baissais pas les bras (...) Je courais toujours après une vocation professionnelle ou quelque chose à moi et je multipliais les expériences, j'étais chez moi partout sans jamais être à ma vraie place et j'avais l'air instable. En réalité, je continuais de chercher cette chose qui serait rien qu'à moi et me rendrait le monde habitable, cabane portative. (p. 152)