Il faut de l’expérience et du recul pour écrire. Je parle du roman de Nicholas Monsarrat, The Cruel Sea. Excellent remède contre le mal de mer, répond le commandant sous-marinier, tout paraît fade à côté. Le commandant du D’Entrecasteaux dit qu’il y a deux sortes de marins : ceux qui disent qu’ils n’ont jamais le mal de mer et ceux qui disent la vérité. Napoléon, par exemple.