Je continuais à gagner en maturité, et je consacrais chaque fois plus de temps à lire ce que les autres avaient écrit, même si je savais que cela pouvait contaminer ma perception des choses et exercer une influence négative sur ma façon d’affronter l’enquête, une fois sur le terrain. Néanmoins, au fil des ans, je m’étais forgé une carapace qui me protégeait des jugements de valeur des autres et me permettait de conserver mes critères sans aucune influence extérieure.