En visite à la prison d'Alger, j'ai croisé un détenu qui, me reconnaissant, m'a murmuré : "Vous savez, maître, votre livre, ici, il circule en douce, sous le manteau." L'idée que Bête noire soit considéré comme un ouvrage sulfureux dans une prison m'a bien plu, je l'avoue, et m'a donné envie d'aller plus loin, avec la complicité de Stéphane Durand-Souffland.
En quatre ans, j'ai encore vu changer le monde que je connais le mieux : celui de la justice.