De temps en temps, en un gros plan effrayant, surgissait un visage empreint de ce regard qui, de tout temps, a été celui du voyageur : sévère, concentré, essayant de trouver de quoi payer le chauffeur de taxi tout en tenant sa canne et ses gants, dont les doigts vides pendouillaient comme les pis d'une vache, et gardant un oeil sur les valises et les malles qui partaient vers le terminal de la Cunard.