Il n'avait nul besoin de se tracasser pour ce qu'il avait fait aux autres, ni pour ce qu'il leur était arrivé à cause de lui, ni pour la manière dont ils terminaient leur existence. […] Cela ne le tracassait pas. Il fallait qu'il y eût un perdant et seules les poires se faisaient de la bile.
Non, rien ne l'obligeait à penser à eux, ou aux sous-produits des heureux coups de Bourse. On gagne : il faut bien que quelqu'un perde, seules les poires se font de la bile.
Troisième partie, Chapitre XVI.