Quand on utilise le béton, on bâtit en vue d'échanges rapides et dans l'attente de grandes destructions. On jouit donc d'un abri, mais plus d'une terre natale ; c'est un désert humain où l'eau devient rare. Aucun style ne parvient à s'épanouir : c'est dans l'ordre, et ne changera qu'au moment où le progrès sera parvenu à bout de course. Les matières, alors, se transformeront aussi, car la forme et le contenu tendent toujours de nouveau, comme l'immobilité et le mouvement à se faire équilibre.