Il y avait des jours où tout vous réussissait, où comme une batterie prête à faire feu l’on irradiait la force. Le destin n’était plus alors une route incertaine que l’on considérait avec inquiétude, arrêté aux carrefours de la vie, mais un jardin merveilleux dont on ouvrait triomphalement les portes et cueillait d’une main assurée les fleurs et les fruits.