Damian était bien conscient que, depuis le début de la grève, les médias officiels, ainsi qu’une bonne part du darknet, le décrivaient comme un extrémiste à cause des idées qu’il défendait. Des journalistes aux ordres des Compagnies avaient même déterré certains de ces discours de jeunesse, dans lesquels il plaidait pour un libre accès de tous à une eau potable et à un air respirable.