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Citations de Esther Jules (14)


Zut, le décolleté ! Elle aurait dû mettre un décolleté pour le premier jour où elle rencontrait le patron. On avait beau dire, les hommes y étaient sensibles.
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- Pas de problème, je fonce me doucher et déposer mes affaires dans ma chambre, puis j'irai à la cave faire le repassage et la couture que tu m'auras sans doute mis de coté. Ne t'inquiète pas, tout sera prêt pour demain matin, comme d'habitude.
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"Fichu coeur de merde ! Car c'était lui qui foutait tout en l'air. Débile, sensible, prêt à fondre comme un chocolat près d'un radiateur sous le premier regard d'Abel. Quel organe merdique !"
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Ingrid Svensholm ! Rym vit sa mère, rouge de colère, les poings sur les hanches, superviser d’un air furieux la sortie d’Abel. Rym fonça sur elle, une bouffée de colère menaçant de l’étouffer.
- Mais tu fais quoi là Ingrid ? Qu’est-ce qui te prend ?! Ingrid Svensholm fusilla sa fille du regard.
- Ne m’appelle pas Ingrid. Je suis ta mère ! Il me prend que ce queutard qui était à moitié en train de se branler pendant que tu faisais ton numéro n’a rien à faire derrière mon bar ! Rym eut envie de se jeter sur sa mère.
- C’est pas un queutard ! Et pour ta gouverne, ça fait trois jours qu’il tient la plonge parce qu’on n’a pas assez de personnel ! Sans lui, on était dans le rouge, on n’aurait pas pu assumer ! Tu veux pas de lui c’est ça ? Eh bien débrouille-toi avec ton bar !
Rym attrapa son tablier qu’elle avait laissé près du comptoir et le jeta avec rage à la figure de sa mère. Puis elle tourna les talons et se précipita dehors pour retrouver Abel. Elle le repéra en quelques secondes. Il s’était simplement posté sur le bord de la jetée, bras croisés, jambes écartées, à regarder au loin. Rym s’approcha de lui, incertaine.
- Abel, je… je suis désolée je…
Abel mit sa main sur sa taille et lui embrassa la tempe.
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Abel passait une bonne soirée à regarder Rym, la jolie Rym, ouvrer derrière son bar et créer des cocktails. Ils n’avaient pas trop parlé ce soir, ils étaient plutôt dans la contemplation. L’un comme l’autre s’observait, se jetait des coups d’œil, se cherchait du regard. Cette nuit était placée sous le signe de la communication non verbale. Abel scrutait la peau de Rym, tout ce qui dépassait de cet extravagant haut de métal, tout ce qui était apparent, tout ce qui était suggéré. Il admirait le globe de ses seins et s’imaginait en découvrir la totalité et y goûter. Pfff... Il en était à son cinquième cocktail glacé et sans alcool, et il se sentait toujours aussi chaud-bouillant. Il avait même fini à contrecœur par lâcher sa place pour aller faire un tour aux toilettes et se dégourdir les jambes, histoire de faire un peu retomber sa fébrilité. À son retour, comme il s’y attendait, il avait dû patienter avant de pouvoir retrouver son tabouret haut, celui en face de la plonge de Rym. À peine installé, c’est le moment qu’avait choisi la grande brune, celle qui se prénommait Dita, pour venir faire son show devant lui. Elle avait grimpé sur le comptoir du bar et dansé en allumant toute la rangée de mecs qui la reluquaient, la langue pendant sur les chaussures. Mais pour lui, rien que pour lui, elle s’était donnée à fond.
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Son cœur venait de chuter durement au sol, avec une grande violence, et bien plus vite que ce que les ailes du bonheur l'avaient porté vers le ciel, se brisant dans un grand fracas. Le monde devint flou autour d'elle. Les autres n'étaient que des couleurs et des bruits, une succession d'images de cauchemar.
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Aujourd'hui, pour la première fois depuis qu'il travaillait chez B&B, Adam Szelski était arrivé en retard.Et le monde ne s'était même pas arrêté.
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Il était là pour bosser, bon sang ! Il méprisait les gens qui se laissaient mener par leurs pulsions ; les hommes avaient un cerveau d'abord, c'est ça qui guidait le monde.
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Se battre, facile à dire après deux verres de Martini ; la réalité était plus rosse.
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Les manigances finissent toujours par éclater au grand jour.
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Personne n'a la maîtrise absolue de son environnement
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Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain.
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Le problème, c'est qu'il n'arrivait pas à se concentrer sur ses chiffres des ventes. Elle avait ce petit décolleté, juste ce qu'il fallait, une légère pointe en V qui laissait deviner et par moments apparaître la naissance de ses seins. Une divine torture. Des seins de toute beauté visiblement. Voluptueux et naturels. Adam se morigéna. Rien que d'y repenser il sentait son sang pulser partout.
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Il ne mélangeait jamais jamais le boulot et sa vie privée. Il était là pour bosser, point barre. Ce poste était un avancement pour la personne recrutée au sein du pool de l'open space. Pas question que l'ascension se fasse sur le critère de la longueur et du galbe des jambes. Il ne voulait qu'une chose, un maximum de professionnalisme : compétence, rigueur, efficacité.
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