PERRICHON, ému. – Daniel, mon ami, mon enfant… votre main ! (Il lui prend la main.) Je vous dois les plus douces émotions de ma vie… Sans moi, vous ne seriez qu'une masse informe et repoussante, ensevelie sous les frimas… Vous me devez tout, tout ! (Avec noblesse.) Je ne l'oublierai jamais !
DANIEL. – Ni moi !
PERRICHON, à Armand, en s'essuyant les yeux. – Ah ! jeune homme !… vous ne savez pas le plaisir qu'on éprouve à sauver son semblable !