PERRICHON : Eh ! monsieur, vous n’êtes pas chargé de corriger mes… prétendues fautes d’orthographe ! De quoi vous mêlez-vous ?
LE COMMANDANT : Pardon !… Pour moi, la langue française est une compatriote aimée… une dame de bonne maison, élégante, mais un peu cruelle… vous le savez mieux que personne.
Acte III, Scène 9.