Un album intéressant sur la précarité et les sans-abris. L'histoire raconte celle d'un fils et de son père obligés de vivre dans un aéroport parce qu'ils n'ont pas de logement. La situation précaire vécue par les deux personnages est présentée à travers le regard du fils, un jeune garçon qui se prête à rêver d'une vie meilleure. Cependant, je ne pense pas que cet album soit accessible pour les enfants car la façon de percevoir les choses par le personnage principal reste assez négative.
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Grand Ours a grandi et doit construire un nouveau bateau à sa taille. Il en construit un qui est parfait mais ses amis lui donnent des conseils pour l’améliorer. Le résultat est cependant loin du bateau de ses rêves. Comment rester fidèle à soi-même et à ses désirs sans vexer ses amis ? L’histoire aborde en filigrane des thèmes comme la persévérance et l’entraide ainsi que le fait de grandir en restant soi-même et ne pas se laisser influencer par les autres. Je doute que les plus petits soient sensibles à ces sujets mais l’album reste agréable à lire en tant qu’histoire. J’ai par ailleurs beaucoup apprécié les illustrations.
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Petit ours adore son petit bateau, mais il grandit et le petit bateau lui, reste petit. Quelle tristesse de renoncer au petit bateau, mais si le plaisir de le voir utilisé par un autre petit ours dépassait de loin cette déception?
Une très belle histoire pour parler des changements et adaptations nécessaires lorsque l'on grandit (somme toute pour expliquer simplement que donner son pyjama préféré à son petit frère ou petite soeur peut-être une grande source de joie!). Aussi l'occasion d'évoquer que même si on grandit, maman est toujours là pour écouter et accueillir les émotions.
J'aime beaucoup la construction du récit, qui est une métaphore à l'évolution du niveau d'écoute et d'attention de l'enfant. Les premières pages, un texte très court, une ligne par page comme dans un album pour les premières lectures des bébés... et au fur et à mesure que les pages se tournent, le texte devient de plus en plus long et les sujets abordés de plus en plus complexes, mais ceci tout en douceur et délicatesse. Parce que le plaisir de grandir c'est aussi le plaisir de lire des histoires de plus en plus longues. Par cette construction du récit, c'est un livre que je trouve adapté à partir de 3 ans.
C'est personnellement une histoire que j'aime lire dans le temps de Noël, pas d'hiver, rien d'apparenté à cette fête non plus au premier abord, mais une ode au partage, au don, à la transmission.
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Optimisme ou résignation ?
La jeune génération pourra-t-elle changer les choses ?
Allison ne supporte pas le climat pesant engendré par les violences religieuses chez les adultes en Irlande du Nord.
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Sujet auquel je ne m'attendais pas forcément sur la pauvreté dans un aéroport, dépeint avec discrétion et justesse. L'histoire m'a touché mais je n'ai pas été fan des illustrations, sans doute une question de goût.
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Une belle histoire où un père vit avec son fils dans un aéroport pour éviter de se vivre dans la rue. L'enfant se prend à rêver de pouvoir s'évader de cet état.
Une réflexion profonde pour les plus jeunes sur la pauvreté, et l'importance d'avoir un chez-soi.
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Des illustrations très jolies et une fort belle histoire sur l'acceptation du fait de grandir.
Ce petit ours qui refuse d'abandonner son bateau devenu trop petit pour lui nous renvoie tous à notre refus de grandir.
Pour les tout petits et les grands qui auraient souhaité rester tout petits :-)
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