Je connais Helen. J'ai travaillé pour des tas d'Helen. Des femmes pour qui une maquilleuse semble, non pas un luxe, mais une nécessité. Il leur faut des coloristes, des visagistes, des manucures - en numérotation rapide sur leurs portables. Ces femmes sont dures à satisfaire, en manque d'affection, facilement meurtries et, trop souvent, elles vivent dans la crainte ( pas irrationnelle ) d'être bientôt remplacées par un sosie plus jeune.