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La période des violences amorcée en 1992 a dicté des changements de tactique. Les objectifs propres au mouvement, en particulier la lutte contre le code de la famille, perdent de leur importance. Cependant, les recentrages opérés par les campagnes contre les réserves à la CEDEF et pour des amendements acceptables au code de la famille ont permis aux associations de femmes de retrouver leurs liens et de rappeler l’attachement à leurs objectifs originels.
La période de la terreur a permis une extension des liens avec des organisations de divers pays, liens fondés sur la solidarité avec les Algériennes. La mobilisation autour de la ratification sans réserves de la Convention sur l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) a ouvert la voie vers les arènes internationales officielles comme l’ONU, ses divers organismes et missions, et vers les réseaux féministes internationaux. Jusqu’au milieu des années 1990, les échanges des associations de femmes algériennes avec les associations et les organismes étrangers étaient très limités.
La période de la terreur a permis une extension des liens avec des organisations de divers pays, liens fondés sur la solidarité avec les Algériennes. La mobilisation autour de la ratification sans réserves de la Convention sur l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard des femmes (CEDEF) a ouvert la voie vers les arènes internationales officielles comme l’ONU, ses divers organismes et missions, et vers les réseaux féministes internationaux. Jusqu’au milieu des années 1990, les échanges des associations de femmes algériennes avec les associations et les organismes étrangers étaient très limités.
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La vérité était que le commis avait une peur horrible de l’eau. À Vernon, son état maladif ne lui permettait pas, lorsqu’il était enfant, d’aller barboter dans la Seine ; tandis que ses camarades d’école couraient se jeter en pleine rivière, il se couchait entre deux couvertures chaudes. Laurent était devenu un nageur intrépide, un rameur infatigable ; Camille avait gardé cette épouvante que les enfants et les femmes ont pour les eaux profondes. Il tâta du pied le bout du canot, comme pour s’assurer de sa solidité.
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