Savez-vous que j’en suis à fêter l’anniversaire de mes sensations, l’anniversaire de ce qui me fût cher, de quelque chose qui, au fond, n’a jamais existé - parce que l’anniversaire que je fête est celui de mes rêves stupides et vains - et à faire cela parce que ces mêmes rêves stupides ont cessé d’exister, parce qu’il n’est rien qui puisse les aider à survivre : même les rêves doivent lutter pour survivre !