Aremys, qui était au supplice d'avoir imposé cette douleur à son ami, remarqua les deux teintes différentes qui composaient un regard si étrange. Le mercenaire ne savait pas s'il devait pleurer de soulagement ou pleurer sur le corps d'Ylena. Il posa une main sur le bras puissant et aux muscles noueux du roi Cailech.
-Bienvenue, Wyl.