Franck Schrafstetter

J'espère sincèrement réussir à trouver des mots assez forts qui refléteront mon gros coup de cœur...



Dans ce roman, les mots résonnent comme une douce mélodie dont les métaphores sont d'une beauté majestueuse. Durant la lecture, malgré quelques petits passages crus, j’avais la sensation d’être bercée, d’être envoûtée par les mots qui résonnent encore en moi.



Chaque chapitre est un rendez-vous intime avec chacun des protagonistes.

Nous suivons de près cette jeune fille, Margault, pour qui j'ai beaucoup d'affection. Un personnage aimant la solitude, mais pas trop, et qui est contre l’injustice.



Nous circulons également parmi une multitude de vies. Que ce soit une vie humaine, animale, végétale ou spirituelle. Chacun a son importance.



J'ai aimé retrouver les mots italiques. Donnant la sensation de "sortir" du texte pour prendre une analyse plus en hauteur. Une âme cherchant son hôte, sa destinée pour s'incarner. Ça ne paraît pas logique ce que je vous dis, mais mes mots prendront sens uniquement si vous lisez ce livre.



La sensibilité de l'auteur saura vous remplir le cœur le temps de cette lecture, parce qu’il arrive avec brio et subtilité à faire passer un message très important, le fil rouge de ce roman. Son texte est fort, vrai.



Nous pouvons souffrir de l’absence de certaines personnes, d’autant plus lorsque nous sommes en quête de soi, à la recherche de qui nous sommes. Ce besoin, de connaître une part de notre arbre généalogique pour savoir quel sang coule dans nos veines.



Des livres coup de cœur, j'en ai eu. Mais celui-ci dépasse le coup de cœur. Il dépasse même les 5 étoiles.



Il a été difficile de trouver les mots adéquats et assez fort pour vous partager mon ressenti. À croire que les mots ne sont pas suffisamment à la hauteur lorsqu’il s'agit de parler avec le cœur, car l'émotion se ressent dans le corps.



J'espère sincèrement vous avoir donné envie de lire ce roman, car il a le mérite d'être lu.



J'espère que ma chronique sera une goutte d'eau baignée dans une mer remplie de belles critiques qui pourraient trouver d'autres mots que les miens pour en parler et faire circuler ce livre dans les mains de chacun. Que cette critique soit une petite luciole ou pigeon sorti du livre pour vous donner envie de le lire. (Qui lira comprendra)



De plus, partageant les mêmes convictions que l'auteur, je ne peux que forcément vous recommander ce roman, qui je l'espère, vous l'aimerais tout autant que moi.



En-tout-cas, je connais certains amis ici sur Babelio qui, je suis sûre, apprécieront ce roman.



J'ai très envie de découvrir "A la lisière de l'homme", un recueil de poèmes, écrit par Franck Schrafstetter et illustré par Miya, évoquant en douceur aux enfants la vie des animaux. Je n'hésiterai pas à me le procurer et à l'offrir aux enfants de mon entourage.



Premier roman de cet auteur, en auto-édition, j’attendrai patiemment avec l’espoir de retrouver un jour, son écriture dans d’autres histoires aussi belles que celle-ci.



Un roman magnifique écrit avec une plume sensible.

Je ressors de cette lecture touchée.

Je remercie Franck Schrafstetter pour l'envoi, en service presse, de son roman La pépinière des anges.

Margault, jeune orpheline, est à la recherche de son père, un violoniste de rue aussi virtuose qu'insaisissable.

Sa quête la conduit en Italie où grâce à ses crayons et une statue de Saint Antoine de Padoue, elle parvient à ne pas sombrer dans ses propres fêlures. Mais les blessures des autres l'entraînent peu à peu vers les abysses.

Pourtant quelqu'un ou quelque chose l'observe, et semble, à son insu, interférer sur son destin..

La pépinière des anges est un roman emprunt d'une grande spiritualité qui nous fait voyager.

Margault est au cœur de ce roman, et c'est un personnage qui m'a beaucoup touché. Elle est hyper attachante. Sa mère est décédée dans un accident de voiture. Depuis elle n'a pas vécue que de jolies choses. Elle ignore qui est son père, et à un moment elle va le chercher.. Va t'elle réussir à le trouver ? Et, va t'elle se trouver ?

En plus de Margault, l'auteur nous fait découvrir des vies. Les passages en italique nous emmènent vers d'autres horizons, vers d'autres âmes.. humaines, végétales, animales..

J'ai trouvé ces passages très originaux et ils apportent un vrai plus à cet ouvrage.

Je ne m'attendait pas à ça en ouvrant ce livre, mais la magnifique plume de l'auteur a su me conquérir.

Pas tout à fait un coup de cœur mais un jolie quatre étoiles bien mérité. Je vous invite à découvrir ce joli roman, je suis sure qu'il ravira de nombreuses babelionautes :)

Lorsque les mots content les maux des animaux…



La rencontre du coup de crayon coloré de Miya et de la plume de Latsuna a créé ce magnifique recueil illustré à lire à partir de 8 ans.



Ce duo a réussi avec brio, à retranscrire l’exploitation animale à travers la poésie suivie d’illustrations. Ici, nous abordons avec douceur les sujets concernant l’industrie laitière, la chasse, le cuir, la corrida, et tant d’autres.



Selon moi, il n’est pas facile de trouver les mots justes sur ce sujet difficile lorsqu’il s’agit d’en parler à des enfants… Latsuna a réussi à mettre en avant l’éthique animale avec une approche adéquate pour sensibiliser les plus jeunes (et aussi les moins jeunes). L’auteur suscite la réflexion avec une approche pédagogique.



N’oublions pas que le monde de demain, ce sont les enfants d’aujourd’hui. Alors, oui, ils doivent savoir le plus tôt possible. Les animaux ont bien besoin d’un coup de patte (ou de pouce) dans ce monde de brut…



Le nom Latsuna, cela vous dit peut-être quelque chose ? C’est parce que vous avez certainement dû voir passer mon récent billet au sujet de son magnifique roman « La pépinière des anges ».



Que vous soyez professeur, thérapeute, parent, tata ou tonton, ou autre... Et que vous souhaitez en parler à des enfants autour de vous, cet ouvrage est ce qu’il vous faut.

De mon côté, ce recueil va vite se retrouver dans les mains de mon petit neuveu.



Les êtres humains sont les seuls animaux dont j’ai réellement peur.

(Dixit George Bernard Shaw – Artiste, critique, dramaturge 1856 – 1950)

Voilà un ouvrage jeunesse très intéressant, édité chez "les points sur les i" par l'association Code Animal.



Cette association se bat principalement pour les animaux sauvages captifs des zoos et des cirques. Dans ce livre, les illustrations (vraiment très chouettes et de style différent) et photos ont la part belle et devraient séduire sans peine les plus jeunes. On y trouve également un quizz à la fin. Les textes ne sont pas moralisateurs, ils expliquent, ils interrogent et le jeune lecteur peut se mettre dans la peau d'un chimpanzé ou d'un ours pour se poser les bonnes questions : l'animal que je vois dans cette cage ou dans cet enclos est-il heureux ? A-t-il sa place ici ?



En plus d'exemples concrets (comme les éléphantes récemment atteintes de la tuberculose, ou Knut l'ours polaire vedette du zoo de Berlin), les auteurs démontent les arguments des propriétaires des zoos et incitent à la réflexion.



Car il faut bien le dire, il n'y a aucun intérêt pédagogique à regarder un animal évoluant dans un milieu artificiel parce que son comportement en sera nécessairement modifié, parce que la captivité imposée à des animaux sauvages est un non-sens, parce que les dessous de la gestion d'un zoo mériteraient d'être connues (savez-vous ce que l'on fait des animaux en surnombre ?), parce que la conservation des espèces dans des parcs, que le grand public confond souvent avec des mesures de sauvetage ou de protection, ne rime à rien si les milieux naturels continuent à disparaître à ce rythme, et enfin, parce voir un animal dans un zoo, ou pire, comme cela est la mode, assister à un spectacle (otaries, dauphins...) ou au nourrissage des animaux ne s'apparente qu'à une vulgaire opération commerciale. Je suis consommateur, j'ai payé mon entrée au zoo, je veux voir des bêtes sauvages, qu'importent les conditions. L'animal captif devenu produit de consommation sous prétexte de le sauver !



De quoi interpeller non seulement les enfants mais aussi les parents. Bref, à acheter, lire et prêter. Sans modération.


Lien : http://lectures-au-coin-du-f..

Absolument sublime !



Margault, jeune femme que la vie n'a pas épargné, est bien décidée à retrouver son père, un violoniste de rue aussi virtuose qu'insaisissable.

Sa quête la conduit en Italie. Passionnée par le dessin et accompagnée d'une statue de Saint Antoine de Padoue, elle réussie à ne pas sombrer. Mais les blessures des autres pourraient peu à peu l'entraîner vers les abysses.

Heureusement, elle n'est pas seule, et est guidée sur son chemin...



Une lecture inoubliable !



Il y a des livres comme celui-ci qui résonne en vous et vous émeuvent particulièrement.



L'écriture est belle, poétique, remplie de sensibilité.



Les personnages ont tous une personnalité très bien construite, et sont très attachants.



J'ai adoré les passages en italique qui nous poussent à une introspection de nous-mêmes, de notre façon de percevoir les autres espèces.



C'est un roman initiatique comme je n'en avais encore jamais lu.

J'ai pris mon temps pour le lire et m'en imprégner le plus possible.



Ce récit est poignant, bouleversant, captivant...de toute beauté !



Je remercie Latsuna pour ce précieux moment de lecture et le félicite pour ce premier roman de grande qualité !

Je remercie l'auteur de m'avoir confié l'histoire de Margault dans sa quête pour rechercher son père.



Nous suivons Margault orpheline qui est à la recherche de son père.

Cette quête va l'emmener bien plus loin qu'elle ne pouvait l'imaginer, elle ne va pas en sortir indemne.

Malgré tout, ce roman nous emmène dans une quête de spiritualité et de sérénité.

Un univers poétique entoure ce roman, Latsuna a su me transporter dans les méandres de la pépinière des anges.

Un roman qui traite de sujet assez lourd comme le viol sur mineurs et une noble cause, les relations LGBT.

Une écriture douce, sensible et fluide.

Un livre qui mérite d'être lu par tous,un livre avec personnages auxquels nous pouvons nous identifier.

Merci Latsuna pour ce voyage


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Une belle ôde à la vie et à l'art en forme de quête, peuplée de personnages entiers qui rebutent quelque fois, qui inspirent souvent.

Le style est parfois un peu rugueux, et gagnerait par endroit à être plus dans l'évocation que dans l'explication. Mais je trouve qu'il se fluidifie au cours du roman et sait amener quelques touches poétiques.

On pourra souscrire ou non au "personnage angélique" mais il permet à l'auteur de partager des réflexions de manière originale, et de sortir d'une vision uniquement anthropocentrée.

Ce livre donne à penser et dessine un chemin à la fois personnel et universel, ce qui le rend précieux.

Qui n'a jamais lu dans le regard d'un chimpanzé derrière un grillage l'insondable tristesse de la vie enfermée et condamnée ? Voici un beau documentaire, sérieusement illustré, qui nous interpelle, nous rappelle simplement une réalité aussi partagée que dérangeante : "l'homme estime encore à ce jour qu'il est en droit d'enfermer d'autres êtres vivants pour son plaisir". Et sans remise de peine, de surcroit. Les vagues justifications pédagogiques ou scientifiques, récemment imposées par la loi, ont un peu de mal à peser contre la cruauté de l'opération. Et si les sauvages c'étaient nous ?

Dominique, toqué du doc.

Ce récit frôle à plusieurs reprises la magie de l'Éternel.



En compagnie de Margault, une orpheline pleine de fêlures et aux racines incertaines, vous irez arpenter les rues de différentes villes en Italie, à la recherche de son père, un violoniste en mouvement perpétuel. À l'aide d'une photo de son géniteur, d'une statue à l'effigie de Saint-Antoine et d'une camarade de vie plutôt bancale, elle ira jusqu'au bout, quitte à y laisser des plumes.



Il y aura bien évidemment des obstacles, des rencontres dangereuses et des êtres néfastes, mais il y aura également quelqu'un, voir quelque chose qui gardera un œil sur elle et qui tentera de l'aider dans les moments les plus confus.



C'est un récit parsemé d'êtres humains à l'écoute de l'invisible, je pense qu'il sera vous convaincre d'être plus attentif aux détails et aux petites choses de la vie, parfois insignifiantes, mais qui pourtant nous apportent des pistes, des messages qui peuvent nous guider sur le chemin de notre propre histoire.



J'ai été agréablement surprise et même touchée par la capacité de l'auteur à partager des scènes d'une beauté presque surréaliste. Je ne pourrai vous donner un exemple ici, tant mes mots ne seront être à la hauteur, mais je vous invite à le découvrir par vous-même.

"La pépinière des anges" est un roman qui m'a bouleversé au regard des nombreux sentiments (amoureux et familiaux principalement) et émotions (joie, colère, etc) qui s'en dégagent.



Le récit nous raconte l'histoire de deux personnages, Sergio et Margault, qui, à première vue, paraissent distincts (l'un pour la musique et l'autre pour le dessin) mais que tout rapprochent : la passion pour les Saints (Antoine de Padoue et François d’Assise) la parentalité et l'art. Margault va entamer des recherches pour retrouver son père biologique et Sergio sa défunte sœur, Chiara.

Bien que les recherches fussent compliquées au début, l'un comme l'autre ne vont pas s'en arrêter là, ils vont persévérer. Concernant Margault, elle va faire une rencontre inattendue qui va accélérer ses recherches au risque d'être déçue à la fin de celles-ci. Elle peut compter tout de même sur ses amis : Frederico et Ginka qui sont prêts à tout pour elle, même à commettre le pire.



Dans cette balade de mots simples qui nous invite avec sérénité dans l'intimité des protagonistes et dans leurs recherches, Latsuna nous retrace le destin et la vie de la jeune Margault et de Sergio.



Au fil du récit, on remarque que la vie n'a pas été tendre avec eux : l'un a perdu sa sœur et l'autre sa mère, surtout Margault qui a perdu sa mère très jeune. Les points de vue se veulent alternatifs d'un chapitre à l'autre.

En plus d'une vie pas si simple, on assiste à la construction physique et mentale de Margault qui va progressivement s'affirmer et ce, dès sa tendre enfance.



"La pépinière des anges" est un roman à la fois doux, rempli de bonheur mais aussi de tristesse tant les événements sont inattendus et parfois malheureux. J'ai ressenti de la compassion pour Margault qui a tant vécu de mauvaises choses dans ce récit.



D'autre part, "La pépinière des anges" met également en avant des aspects sociétaux qui sont toujours d'actualité : les relations LGBT et les viols sur mineurs.



Un bon roman qui vous fera voyager mais aussi passer par tous les ressentis possibles et inimaginables.

Quand une belle plume rencontre un fort joli coup de crayon cela donne ce recueil de poésie, destiné aux plus jeunes à partir de 8 ans mais je pense que chaque être humain quel que soit son âge ne peut que se sentir concerné.

A travers les poèmes illustrés les deux artistes tendent à parler de la cause animale, de leurs conditions de vie. Ils abordent avec tact et sans violence des thèmes comme l’industrie agroalimentaire, les abattoirs, la pêche, la chasse, l’abandon des animaux domestiques, les animaux de cirque et bien d’autres sujets encore.

Ils trouvent les bons mots et les bonnes illustrations pour faire passer un message pédagogique qui ne se veut pas moralisateur mais plutôt informatif, amenant à réflexion.

C’est pour cette raison qu’il est bon de l’expliquer aux enfants, qu’un animal n’est pas juste un caprice ou un jouet que l’on jette quand on n’en veut plus. Un animal est un être vivant comme nous. Le poème « Hauteur d’homme » est criant de vérité et bouleversant, malheureusement c’est la réalité.

Ces écrits véhiculent beaucoup d’émotion, deux en particulier « No pasarán » et « Monde perdu » m’ont fait monter les larmes aux yeux.

Les illustrations sont magnifiques, les poèmes très touchants. On peut même les chanter pour l’expliquer aux plus petits, c’est ce que j’ai fait avec mon filleul Arthur 2 ans et demi qui a adoré.

La préface quant à elle très bien écrite est juste, poignante et pertinente.

C’est vraiment un très bel ouvrage que chacun d’entre nous devrait lire. Merci à l'auteur et à l'illustratrice de m'avoir permis de le savourer.

❤️COUP DE CŒUR❤️

A la lisière de l’homme... Ce sont de doux mots pertinents et percutants pour aborder avec émotion notre relation au monde animal.

Quelle belle découverte que ce recueil de contes pour les plus jeunes (-mais pas que !-) qui relate des relations hommes/animaux avec douceur, justesse et simplicité.

Écrit par LATSUNA, un professeur des écoles très talentueux et concerné par les problématiques environnementales, il est aussi très joliment illustré à l’aquarelle avec de douces couleurs pastel par MIYA. J’ai adhéré à 100%. Il y a des poèmes qui m’ont particulièrement touchée ; comme « Hauteur d’homme », bouleversante parole d’un chien délaissé, ou encore « Tableau de chasse » dont le titre parle de lui-même.

Des poèmes à lire, à relire, à expliquer, à débattre, à conter, à réciter, à disserter, à (ré)écrire, mais surtout des poésies pour réfléchir et comprendre. Réfléchir à notre positionnement d’être humain face à la nature. C’est tout l’enjeu de « A la lisière de l’homme » : où se trouve la frontière entre la nature et l’humain ? Voici donc un recueil qui pose des questions, qui interpelle, qui déstabilise et qui suscite l’interrogation.

➡️Une sensibilisation à la protection de la faune dès le plus jeune âge, sans pour autant se vouloir donneur de leçons !

Le livre se découpe en 4 parcours de lecture, 4 regards sur le monde :

1) Questions sur la faune sauvage et le réchauffement climatique

2) Élevage intensif

3) Domination de l’homme : chasse et pêche

4) Domestication

L’Homme se fait sa propre histoire… Et pour cela il doit donner un sens à sa vie. Parfois il l’a dédie à des actions humanitaires, à sa famille ou à son travail. Puis d’autres fois il se lance à la recherche de fantômes, enfermé dans un passé qui le ronge.

La pépinière des anges par Franck Schrafstetter, est un roman initiatique, assez spirituel qui aborde le deuil et la complexité d’un être humain à trouver sa voix. Car il est vrai, comment trouver sa place dans ce monde lorsque l’on perd nos racine.

Nous allons suivre l’histoire de Margault, qui a perdu sa mère dans un accident de voiture et se fait accueillir par sa tante et son oncle, deux personnes obnubilées par les conventions et ne vivent que dans le paraître. À 12 ans elle quitte le domicile familial suite au viol qu’elle a subit par son oncle, et se fait recruter dans un internat religieux. Suite à cela, elle va se lier aux Saints, notamment Saint Antoine de Padoue, dont elle volera la statue à sa majorité lorsqu’elle pourra enfin partir avec Ginka, son amie. Elle décide alors de se lancer à la recherche de son père dont elle ne connaît que le prénom et le pays natal. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que quelque chose, ou peut-être quelqu’un la suit, la protège et la guide.

Dans cette histoire, les personnages étaient très attachants, je les ais tous beaucoup aimés, chacun étaient rongés par un passé parfois trop lourd à porter. Si on leur en veux pour certaines actions on n’hésite pas à leurs pardonner aussi vite.

J’ai trouvé la plume de l’auteur particulièrement belle et charmante, parfois même très poétique, qui a su me surprendre dès les premières lignes et rare son les fois où je me dit: «woua mais qu’elle plume!». Ainsi je vous incite grandement à vous attaquer à se livre qui mérite d’être lu.

En attendant, je vais vous parler d'un très beau livre.



Il s'agit de "LA PEPINIERE DES ANGES" de Latsuna (@latsuna.officiel) que je remercie à nouveau pour l'envoi de son livre en numérique et sa confiance.



Ce beau roman de 348 pages m'a d'abord décontenancé du vue de l'alternance de point de vue, chaque chapitre est raconté par une personne différente dont une assez particulière, mais je ne vais pas vous dire pourquoi, il faudra le découvrir tout seul sinon vous en serez trop.



Je vais juste vous dire cela : c'est un très beau et profond roman qui est très émouvant, touchant et on ne peut sortir de notre lecture que grandit et même en ayant appris des choses grâce aux profondes réflexions, remarques, toujours si justes (quête de soi, de ses origines, le deuil ainsi que le viol sont des sujets abordés dans ce roman).



À lire absolument, vous ne le regretterez pas alors allez vite vous le procurer sans tarder.
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Pour résumer ce livre en un mot, je dirais qu’il est… Spirituel. Je tiens à souligner le talent d’écriture de l’auteur car il détient des mots très forts qui permettent de remettre sa vision du monde en question. Je conseille vivement ce livre à toute personne qui adore l’art, les textes lyriques avec cette pointe et finesse d’écriture qui nous fait nous questionner perpétuellement. Personnellement, n’ayant pas pour habitude de lire des œuvres spirituelles, je n’ai pas été enchanté par l’histoire mais j’ai énormément apprécié la qualité d’écriture qui est unique et gracieuse. (Critique complète ci-dessous)
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Effectivement, après avoir lu ce livre, on a un nouveau regard sur les zoos. Même si je ne suis pas un adepte des zoos, comme beaucoup de parents, j'ai emmené mes enfants voir les animaux. On sait pertinemment que l'on voit des animaux enfermés mais le zoo fait tellement bien son travail que l'on imagine que tout ces animaux, à défaut d'être heureux, vivent bien et sont actifs.

Le livre fait vraiment bien le tout de la question : conservation des espèces ? Pédagogiques ? Réintroduction des espèces menacées ? Tout ça c'est du flan. Les animaux tournent en rond, font des mouvements répétitifs, meurent de maladies ou deviennent fous. Un ours polaire dans un pays tempéré, des ours réveillé en hiver, des animaux solitaires regroupés par 2, des animaux grégaires seuls, des animaux ayant un territoire de plusieurs kilomètres carrés enfermés dans 30 m2… bref, des situations ubuesques qui montrent bien que les zoos ne sont pas des lieux à visiter, voire à supprimer comme les zoos humains du début du siècle dernier…

Un livre loin d’être moralisateur et qui permet de se faire sa propre opinion et de réfléchir à l’utilité de voir des animaux enfermés.

Margault a perdu sa mère très jeune. Personne ne connaît son père. Après une jeunesse mouvementée, elle décide de retrouver son père, un violoniste de rue, virtuose mais difficile à trouver.

Ses recherches la mène en Italie. Elle va faire des rencontres qui lui éviteront de sombrer dans une quête qui semble impossible et interminable.

L’auteur a une plume poétique et sensible. Les personnages ont des personnalités complexes.

Ce roman initiatique ne m’a pas totalement convaincue. J’ai trouvé l’histoire trop complexe et triste.

Un roman qui a su me toucher ...



L'auteur a une écriture délicate, précise, sensible, presque poétique. Les personnages sont attachants.



J'ai particulièrement aimé ces passages en italique, nous permettant de suivre une âme à la recherche d'un hôte, et créant une parenthèse dans le fil de l'histoire.

🕊La pépinière des anges - Franck Schrafstetter



Roman initiatique - Spiritualité - Roman familial



/!\ Viol au début du roman /!\



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4★/5



Comme vous aurez pu le remarquer, j’ai changé ma note de 3 à 4. Tout simplement parce que depuis hier je n’arrête pas d’y penser.



Les personnages sont ultra attachants. Margault m’a plu dès le départ. Elle est forte, fait tout en oeuvre pour atteindre ses objectifs et ne se laisse pas marcher dessus. Que ce soit les personnages principaux, ou les personnages secondaires, tous ont été brillamment travaillé.



En ce qui concerne l’histoire, j’avoue qu’au début je ne savais pas trop où l’auteur voulait nous emmener. Ce n’est seulement qu’à 30% du livre que j’ai réellement commencé à accrocher à l’histoire et à ne plus savoir le lâcher. C’est mon tout premier roman spirituel et je peux vous dire que ce ne sera pas le dernier.



De plus, la plume de l’auteur est magnifique et très poétique. C’est grâce à celle-ci que j’ai été envoûtée par l’histoire de la protagoniste et j’avais vraiment envie d’avoir le fin mot de l’histoire.



L’auteur nous a fait passer parmi les vies humaines, animales, végétales et spirituelles, et il l’a très bien fait!



Je ne le conseille pas aux plus jeunes, mais bien aux adultes qui adorent l’art et la beauté de l’écriture.
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