Elle avait un sourire inabordable, exorbitant, que les scientifiques appellent le sourire de Duchenne. Elsa était une des rares femmes sur terre à avoir ce sourire, qui est le seul capable de traduire le vrai bonheur. Il se voit dans le regard, car en plus de remonter les commissures des lèvres, il resserre le muscle des paupières. Elle possédait ce sourire franc, idéal : un sourire d’innocence.