Tout cela n'est qu'une hypothèse, bien entendu. En vérité, on ignore ce qu'il s'est passé rue de l'Ourcine au printemps 1832. On ne sait pas si Évariste fit la rencontre de Stéphanie sous un arbre du jardin. On ne sait pas s'il y avait un arbre dans le jardin. Et pour tout dire, on n'est même pas certain qu'il y eut un jardin. (C'est dire si on ne sait rien.)