La philosophie de la nature, appelée aussi physique ou cosmologie, et la psychologie rationnelle nous permettaient d’utiliser les connaissances acquises en logique pour faire l’examen du cosmos et de l’être humain, en faisant appel à l’observation du réel, sans instrument, et avec le souci d’en approfondir les diverses causes que l’on appelait matérielles, efficientes, finales, instrumentales, formelles, exemplaires. Je reçus la théorie enseignée comme une perspective certes éclairante sur le monde et la personne, mais aussi avec une certaine réserve devant l’exercice d’une intelligence aussi détachée qui spécule au sein d’une sphère conceptuelle qui me semblait en marge de la réalité vibrante. La notion de “substance” par exemple, comme explication de la stabilité de l’individu matériel,