[...] Tout était devenu lent, calme, comme la douceur du parler roumain. Quelque chose de souriant et de mélancolique sur les visages. Aucune gêne, de la simplicité chez tous les gens rencontrés.
Nous avions maintenu le cap vers les bouches du Danube, persistant à préférer aux châteaux de Dracula le bas pays des longues navigations et des vents maritimes qui ont, des siècles durant, accumulé les migrations.