"Et il avait traversé, seul, les drames de son enfance à travers l'occupation étrangère. Pendant l'été de 1944, il avait suivi sa famille, réfugiée en Haute-Vienne, chez des parents. Le massacre d'Oradour-sur-Glane, l'incendie de l'église, les avions qui planent devant un enfant de cinq ans. Une vie entière pour oublier..."