Devant elle,à une trentaine de mètres,la maison blanche lui apparut enfin.
Pascale s'attendait à la trouver moins imposante que dans son souvenr,mais non,elle était identique,exactement semblable à l'image précise qu'en avait conservée sa memoire.Large,solide,élègante,presque orgueilleuse avec ses colonnes accouplées autour des fenêtres,son perron surélevé et sa terrasse fermée par une balustrade en poire....Sa maison.L'endroit où elle avait été si insouciante et si heureuse qu'il était pour toujours assossié à l'idée du bonheur.