Bien avant Delaunay, Chagall et le douanier Rousseau, Seurat fut le premier « portraitiste » de la tour Eiffel pourtant bien mal accueillie alors : « l’odieuse colonne de tôle boulonnée » (Gounod), « un squelette de beffroi » (Verlaine), « une volière horrible, un hideux pylône, un chandelier creux » (Huysmans) !