Ni le rationalisateur hyperintellectuel qui agit comme un robot aux circuits encombrés, ni l'hystérique affligé de catastrophisme qui se laisse mener par ses sentiments profonds ne représentent un fonctionnement humain optimal. On peut contrôler la proportion de ses pensées et de ses sentiments grâce, entre autres, à l'humour et au jeu. Il est presque impossible d'être détaché ou excessivement timide lorsqu’on rit ou qu'on joue spontanément.