Le cœur artificiel idéal devrait pouvoir fonctionner indéfiniment et surtout ne
pas être sujet à des pannes souvent mortelles si le sujet ne peut être
transporté en quelques minutes dans un centre de chirurgie cardiaque. C’est
beaucoup demander, sans doute, mais en une décennie, la science a fait un pas de géant, et promet d’en faire d’autres encore.