Heureux celui qui ne veut pas savoir,
qui entend le chant des arbres,
celui des astres ou celui du juke-box,
et l’herbe froissant le matin du jardin
ou montant en fumée du fond des cendriers,
pour qui le temps n’a pas de chemin,
pas de comptoir et pas d’histoire.
Heureux celui dont la patience n’attend rien.
Et que le temps transporte.