[…] l’Etat, ne l’oublions jamais, n’a pas de ressources qui lui soient propres. Il n’a rien, il ne possède rien qu’il ne le prenne aux travailleurs. Lors donc qu’il s’ingère de tout, il substitue la triste et coûteuse activité de ses agents à l’activité privée.
(Chapitre PROPRIETE ET LOI, p. 122)