« Ce qu’on n’a pas, ce qu’on n’est pas, ce dont on manque : voilà les objets du désir et de l’amour3. » Selon une telle conception, nous ne cessons d’aimer et de désirer ce qui nous manque. Mais dès lors que nous possédons l’être ou la chose désirée, notre désir et notre amour s’émoussent.