Lorsque le désir nous lie a une passion, il nous asservit et finalement nous rend malheureux et dangereux pour les autres. A l’inverse, lorsque le désir reste sous la maîtrise de notre cœur et de notre intelligence, lorsque nous savons le limiter quand cela est nécessaire et l’orienter vers des choses ou des personnes qui sont bonnes pour nous, il nous apporte les plus grandes joies de l’existence. (Page 98)