C'est que l'amour est fragile, il ne peut être réparé, il ne se satisfait pas de la mesure ni, à fortiori, des demi-mesures ou des accommodements. L'amour n'est pas commode, n'est pas raisonnable. Il dévore tout et s'éloigne. Il met à mort ce qui ne lui appartient pas. Ou alors, il s'assagit dans une indulgence ou une compréhension sans limites. C'est dire qu'il y a encore de l'infini là-dedans. (p. 103)