Ce n'est pas le mal aux dents que guérit le dentiste mais la dent malade, ce qui fait automatiquement cesser la douleur ; et de même le psychiatre n'a pas à guérir le complexe d'infériorité mais l'infériorité elle-même, de telle sorte que les complexes deviennent superflus. Ma dépression, c'était comme le mal aux dents, tous deux ont pour fonction, par l'entremise de la douleur, de signaler la maladie.