Je gagne les portillons et descends les escaliers gris qui mènent à la ligne de métro Marunouchi.
Soudain, un de mes yeux se brouille et tous les
gens en mouvement deviennent flous, leurs contours semblent s’effacer. Quand j’arrive sur le quai, j’aperçois du coin de l’œil un homme en costume noir. Un léger renflement atteste la présence de son portefeuille dans la poche arrière droite de son pantalon.