A son apparence et son attitude, je devine qu’il s’agit d’un gigolo qui a un certain succès. Il fixe son téléphone portable d’un air critique, tout en tapant frénétiquement sur les
touches de ses doigts fins. Je monte à sa suite dans le métro, analyse le flux des passagers toujours plus nombreux et, dans l’atmosphère étouffante, me positionne derrière lui.