Voilà ce qu’on appelle la vie : vouloir du nouveau, se cramponner au familier.
On n'est pas là pour les licornes, l'euphorie ni même pour se prêter une oreille compatissante. Ce n'est ni l'endroit ni le moment. Mais je peux te promettre une chose : si tu t'accroches jusqu'à la fin, que tu fais tes devoirs de réflexion, que tu dévoiles tes motivations subconscientes et que tu appliques ces idées et ces principes, non seulement tu te comprendras mieux que jamais, mais tu auras en prime tout ce qu'il faut pour reprendre le contrôle de ta vie.
L'acceptation est une pratique. C'est un exercice conscient, où il faut te rappeler - parfois quotidiennement, à chaque heure, ou à chaque minute - de te libérer de tes réactions automatiques et de tes déclencheurs, et de t'accorder la place dont tu as besoin pour respirer et te forger une vie sans autosabotage ni doute.
Les commérages ne sont ni innocents, ni drôles. Ce sont des conneries négatives et bien-pensantes. Arrête de parler des autres. Ce n'est qu'un moyen de te distraire de ce que tu peux réellement changer dans ta vie.
Certes, tu ne peux pas changer le passé, mais tu peux choisir comment tu le vois et comment tu l'expliques. Ce qui modifiera la manière dont tu le ressens. Ce qui, à son tour, changera bel et bien le passé que tu as connu. Ou du moins son impact sur toi.
Toi, à force de te victimiser, tu te condamnes à une vie complétement sans intérêt. Comme la plupart des gens, tu préfères trouver des excuses à tes problèmes plutôt qu'y remédier.
N'oublie pas que tout ce à quoi tu résistes dans ta vie persiste justement à cause de cette résistance. Tu te laisses dépasser par tes conclusions, comme absolument tout le monde.
Tu es, et a toujours été, ta seule source de changement. Bouge-toi un peu, mon grand !