Nous restons assis sur le bas-côté de la route un long moment encore. Avec les voitures qui passent à toute vitesse devant nous et ma cigarette dont l'odeur recouvre celle du carburant dont la fumée s'échappe en un léger nuage bleu.
Le soir était tombé et il fallait pourtant rentrer. A la maison, Michel, Pauline et Emmanuel nous attendaient. La vie continuait.