CHANT DES PROFONDEURS
Du fond de la nuit je fus libéré.
Mon âme s’étonne dans l’immortalité,
Mon âme écoute par-delà espace et temps
La mélodie de l’éternité !
Elle n’est pas le jour et la joie, ni la nuit et la douleur,
La mélodie de l’éternité,
Et depuis que j’ai écouté l’éternité
Je ne sens plus jamais ni la joie ni la douleur !
/ Traduction de l’allemand par Marc Petit et Jean-Claude Schneider