Malgré la révolution électronique, […] il n’y a aucune certitude que le nombre de livres imprimés aux formats traditionnels diminue. Il semble même que le contraire se produise. Il y a, en réalité, une pléthore incroyable de nouveaux titres […] qui constitue peut-être la plus grande menace qui pèse sur le livre, sur la survie de librairies de qualité, avec suffisamment de place pour stocker les ouvrages et pouvoir répondre aux intérêts et aux besoins de tous, même de la minorité. » Les livres qui ne se vendent pas très vite et sont ignorés par la critique disparaissent rapidement. « Il n'y a tout simplement pas de place pour le mûrissement, le goût de l’exploration à quoi tant de grandes œuvres ont vu leur survie.