Et il n'y a pas que la liberté. Il y a la poésie. Quelle étrange manie de se la faire toujours traduire par d'autres. Les lacs, les vallons ont pour moi une vie, une existence qui ne doivent rien à Lamartine. [...] Je ne crois pas que l'épopée de Waterloo psalmodiée par le vieil Hugo soit plus chargée de poésie que Waterloo, vraie bataille, avec l'odeur de la poudre et le rythme des salves et tous ces hommes mourant de grand cœur sous un ciel comme toujours vide.
(in "Le Voyage du mauvais larron")