De tout cet ensemble de traits anciens et récents, mythiques et rituels, il ressort que le roi, grand payeur, est aussi, en contrepartie, grand receveur. Il n'enrichit ses sujets que parce qu'il possède toute chose en droit et, en fait, prélève partout selon son gré.
Pour parler moderne, l'État ne finance les services publics que par les impôts qu'il encaisse.