Il y avait un post-scriptum, un post-scriptum ahurissant qui montrait qu'Anton Voyl n'avait plus sa raison: "Portons dix bons whiskys à l'avocat goujat qui fumait au zoo".
Il y avait, pour finir, paraphant, trois traits horizontaux (dont l'un au moins paraissait plus court) qu'un gribouillis confus barrait.