-Prends ta Djip, proféra l'autre d'une voix de Centaure, prends ta djip, répéta-t-il et me passe sur le corps. Me casse le pied que plus jamais ne puisse m'en servir à des fins meurtricides. Et que j'aille, traînant ma douleur et ma peine, d'hôpital militaire en militaire hôpital. Que la fée Convalescence me touche de sa baguette. Qu'elle m'accorde le plus long de ses sursis. Et je la passerai, oui, je la passerai dans la couche de celle que j'ai dans la peau et l'on verra venir.