Pourquoi, d'ailleurs, ne devrions-nous lire que des chefs-d'oeuvre ? Cette dictature de l'excellence nous fait oublier que la littérature est chose vivante, c'est-à-dire imparfaite (je ne crois pas à la perfection), et que les jugements de la postérité sont largement conditionnés par une unanimité idéologique provisoire, reflet de l'Histoire en train de se faire. (p. 152)