Non, monsieur ! Mes administrés, comme vous dites, ne sont pas plus heureux parce qu'ils paient quelques francs de moins d'impôts ! Et les malades ne seront pas plus heureux de mourir dans le nouvel hôpital que dans l'ancien ! On doit faire ce qu'il y a à faire, mais c'est une erreur de croire qu'on change le sort des gens.